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Poeme de Hiiindy : Deux mondes

Par Illusionperdu @IllusionPerdu

Droit devant moi,
Comme dans un décors de cinéma,
Une ville débordante de vie
Gagner par l'agitation et le bruit
Dans cette ville,un enfant
Sur son visage ont peut lire l'émerveillement
Mais tout à coup, il se met à pleurer
Il n'aime pas le gâteau que sa mère lui a acheté
Derrière cette belle ville, la misère
Un seul et ultime espoir, la prière
Pour seul point d'eau,une rivière
Tout cela cacher par une frêle barrière
Au milieu de tout ce vide, un enfant
Son visage est dépourvu de toute émotion
Il connais les épreuve de la vie, il n'a jamais pleurer
Son plus cher souhait est d'enfin pouvoir manger
Une légère bise de vent et le sable s'envole
Elle fait trembler sur son passage les abris de tôle
Dans un coin de rue, les enfants ont cessé leurs jeux
Le sable fin vient de pénétrer dans leurs yeux
De l'autre coté, la fête continue, les gens sont heureux
En apercevant la brise se diriger lentement vers eux
Sur l'herbe des enfants ce sont couchés
Attendant de sentir sur leurs peaux, le vent se déplacer
Au son de la musique ,tout le monde danse et rit
Sans se soucier de tout ces être appauvris
Pourtant tous connaissent la triste vérité
A quoi bon faire semblant de l'ignorer ?
Poeme de Hiiindy : Deux mondes

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