why not the old “human shield” technique? [...] The reason they didn’t do that is simple: they didn’t play by those rules. This ain’t Liberia or Chechnya, and thank god for that. You know how many civilians were killed in the whole battle of Gettysburg? One. [...] One! It’s incredible. People don’t realize how amazing that is. Those were supermen, there’s no other explanation. You read their letters and they write in complete sentences, they even have great handwriting, even the paragraphs work.Par le plus grand théoricien militaire de notre temps, Gary Brecher.
Je suppose que si vous demandez à un gauchiste ce qu’il pense de l’américain moyen des années 1860, il vous dira que c’était un plouc alcolo bigot raciste qui battait sa femme, flanquait des torgnoles à ses gosses pour un rien, et qu’en plus il n’avait jamais lu de littérature française de sa vie, ni même de littérature tout court.Et il aurait probablement raison.Je ne suis pas un expert dans l’Amérique de la seconde moitié du 19ème siècle, même si j’étais dingue des Tuniques Bleues quand j’étais petit, mais à priori, ce portrait doit être assez fidèle à la réalité.
Et malgré ça, ces types écrivaient correctement, et en plus, étaient capables de mener la plus grande bataille qui ait jamais eu lieue sur le sol américain en ne tuant qu’un seul civil. Ils étaient forts, travailleurs, en bonne santé, n’hésitaient pas à sacrifier leur vie, et faisaient la guerre noblement.Et nous ?Nous on est gros, abrutis de médicaments, ne rêvons que d’en faire le moins possible et éclatons de rire dès que nous entendons le mot « devoir ». Nous sommes des enfants pourris-gâtés, pas même bons à entretenir l’héritage que nous ont laissés nos glorieux ancêtres.Bref, l’Occident est mort, quels que soient les derniers mouvements israéliens. Il a connu son apogée durant la première moitié du 20ème siècle, et décline depuis. La génération de 14 en France, celle de 29 aux Etats-Unis, les kibboutzniks en Israël, furent ce que l’Occident a produit de meilleur. Son dernier chant du cygne. Ces générations furent brillantes, glorieuses, dures à la tâche, n’hésitaient pas à se battre et mourir pour des trucs aussi ringards que le drapeau ou la patrie.Le résultat ?Le néant. L’hédonisme, le plaisir à courte portée, mai 68, la destruction de toute tradition, de toute autorité, de toute transmission, de toute culture.
Et pour nous remplacer, il y aura ceux qui se servent de leurs propres enfants comme de boucliers humains, ceux qui considèrent que c’est un honneur que d’aller se faire sauter au milieu de femme et d’enfants. Ceux qui brûlent les livres autres que le Coran.
C’est fou ce que l’avenir est radieux.