La lutte contre la fraude fiscale, en Italie, devrait générer des revenus de 20 milliards d’euros, d’ici à trois ans : 415 millions d’euros dès 2010, puis 5,3 milliards en 2011, 7,8 milliards en 2012 et 6,8 milliards en 2013.
Selon le gouvernement, si les entreprises avaient versé la TVA entre 2005 et 2008, correctement, le taux d’endettement du pays serait de 60 % du PIB et non de 116 %.