Crises après crises...
(Wall-Street)
En vrac, dans l'ordre et dans le désordre : présents, absents...
Nul doute, ceux que j'ai oubliés me pardonneront !
Ni responsables ni coupables ?!
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Pour certains... penseurs d’une économie libérale, voire ultra-libérale,
Pour d'autres... journalistes omniprésents et bavards, pourfendeurs impitoyables depuis 40 ans de toute pensée économique alternative d’où qu’elle vienne,
Intellectuels tantôt pyromanes, tantôt pompiers,
Et d'autres encore... chefs d'Etat,
Ce qui n'empêche nullement, aujourd'hui encore, journaux, télés, radios, magazines... de continuer de nous les servir !
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Et si... finalement, les lecteurs, les auditeurs et téléspectateurs n’étaient que des pommes ? Oui, de pommes et des poires au grand cœur d’artichaut mais… gros, gros comme ça, plus gros encore, quand il est épluché ; un cœur d’artichaut à la cervelle tendre, habité d'une volonté de ne jamais rien voir et de ne rien entendre dans l'espoir d'échapper à une réalité cruelle et étouffante et dans toute son horreur.
Car, à quoi bon le nier : nous sommes tous faits aussi et surtout d'optimisme... incurablement. Et l'étoffe de cet optimisme, c'est notre sommeil et le rêve qui l'accompagne : nous tous ici, éveillés mais... pas trop ; juste assez pour nous rendormir crédules et sereins.
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Réveil brutal mais salutaire…
Destruction de valeur, vampirisation des entreprises par les établissements financiers, le chercheur au CNRS en déduit une solution radicale mais aux conséquences positive : Il faut (re)-nationaliser les banques.
Cliquez Frédéric Lordon