Je vous attends en bas de votre immeuble, ému par les quelques morceaux de vous qu’il m’arrive encore d’apercevoir parfois derrière vos rideaux opaques. Des morceaux roses derrière un voile noir. C’est joli. Envoûtant aussi peut-être. Même la crasse de vos vitres sales ne saurait atténuer le grain Lire la suite sur le blog de l'auteur