Ce laboratoire en mutation permanente et à vocation “anti-muséale” garde ses valeurs. Vous passerez ainsi d’une lampe Gino Sarfatti à une chaussure Geox. En vous retournant vous admirerez un tableau de Morandi juste à côté d’une canne de berger des Abruzzi, à deux pas d’un faux David et d’un poème de Catulle. Une scéno superbe qui colle au lieu et au thème. Parce qu’après tout, une histoire s’écrit comme l’Italie elle-même : multiple, incohérente, mais racée et poétique.
La Triennale di Milano
Du 14 avril 2010 au 27 février 2011
www.triennaledesignmuseum.it