Dans la première partie, Serge Schweitzer déboulonne les mythes selon lesquels les conséquences du chômage seraient l’automatisation, la délocalisation et l’immigration.
Dans cette deuxième partie, il explique que le chômage est la conséquence des changements de goût du consommateur qui abandonne les produits désuets en faveur de nouveaux produits moins coûteux et plus efficaces. Toutefois, le chômage ne serait que passager si les gouvernements, obéissants à la doctrine de Keynes, n’intervenaient pas pour maintenir artificiellement en vie des entreprises désuètes.