La bibliothèque est belle certes, mais le plus dans l'histoire c'est que l'on peut se connecter au web gratuitement, simplement en inscrivant son nom et son pays sur une feuille (pas de pièce d'identité exigée) et le bibliothécaire vous donne un numéro de poste et un identifiant valable pour une durée que j'ai oublié car je n'ai pas utilisé tout mon crédit, bien pratique quand vous avez oublié de faire débloquer votre carte sim de votre super téléphone qui peut normalement se connecter à Internet mais reste définitivement muet depuis votre arrivée à NY
J'ai visité la NPL, mais aussi une bib de lecture publique située à un bloc de la NPL.
Je vais faire mon Gilles Rettel (private joke à l'attention des discothécaires ;-) : "Tout d'abord j'ai eu du mal à trouver la porte puis une bibliothécaire d'un certain âge m'a quasiment empêchée d'entrer pensant que je m'étais trompée et que je croyais visiter la NPL. J'ai été obligée de lui dire que j'étais bib pour pouvoir entrer ! Une fois à l'intérieur j'ai trouvé une bib moche, triste, sans âme. Ah ça les livres sont pas tassés sur les rayons :
Et pis je voudrais pas dire, mais quand je suis arrivée à 10h un samedi matin pour visiter la NPL je me suis cassée le nez celle-ci n'ouvrant qu'à 11h...
Si vous voulez en voir un peu plus voici un diaporama de la NPL et de cette bib de lecture publique, mais attention certaines photos pourraient choquer et sont donc à réserver à des bibliothécaires néophytes (notamment le rangement (ou pas) des livres et le classement par ordre alphabétique des CD)
Attention à la 23e photo est réellement insoutenable
Le chemin pour arriver à la bibliothèque
et 200 mètres pendant lesquels les gens m'ont pris pour une folle :