Magazine Cinéma
mardi 01 juin 2010
Le film commence avec ces belles couleurs que j'aime tant chez Bergman ; on voit la scène du meurtre se dérouler dans une pièce rouge renforçant le côté violent de la scène. Puis on passe au noir et blanc pour ne le quitter qu'à la fin.
Récemment j'ai écrit que ce que je n'aimais pas chez Woody Allen, c'est que cela parlait beaucoup trop. Et pourtant ici, ça parle beaucoup et j'adore. Peut-être (même sûrement) parce que cela vole beaucoup plus haut. Le héros croit qu'il n'est qu'un amas de cellules et que son âme peut-être soignée par des médicaments (des "hormones" comme il le dit). Cette reconstitution quasi-documentaire de l'avant et après meurtre tente de nous fai