Louise Bourgeois est morte.Une femme de 98 ans mais certainement pas une artiste.
Il faudrait retracer l’histoire de l’œuvre de cette femme : elle n’existe pas.
J’ai vu ces dernières années la même araignée à Londres d’abord, puis à New York, puis à Paris, je crois. La seule œuvre dont elle ait eu l’idée et qui n’est qu’une métaphore de ses obsessions c'est cette fameuse araignée gigantesque avec ses oeufs. Une oeuvre tardive de vieillarde conçue par le réseau du fric qui l'avait lancée. Ne cherchez pas autre chose, il n'y a rien. Pas de quoi en faire une artiste. Pour le reste, quelques oeuvres ridicules, sans imaginaire, plates.
D’ailleurs essayez de retrouver la genèse de ce travail qui n’existe pas: Quelques vagues sculptures ou des dessins indigents par rapport à ce qui se faisait à l’époque.
Une si longue vie pour ce rien artistique !
Elle n’a existé que parce qu’elle connut Duchamp et quelques autres, que parce qu’elle épousa un des grands magnats de l’art. et qu’il fallait inventer « l’art féministe » à partir de années 7O.
Je me souviens de quelques hystériques féministes new-yorkaises de cette période dont Louise Bourgeois était le rejeton sans talent. La négation même de l’art. L’absence de créativité. La laideur méchante et sèche pour seule pensée.
Et voici que tous les trissotins de l'art sponsorisé au pas de l'oie blanche y sont allés de leur requiem inculte et modeux. Pauvres cons. Ceux qui aujourd'hui pleurent ce génie sans bouillir de la fémininitude. Qu’ils s’appellent Sarkozy ou Delanoë (Avec mention spéciale pour celui-là).
Dans le sens - bien sûr - où ces triste féministes new-yorkaises épiloguaient sur le mot « con », intervention française à Columbia University devant Foucaut, Deleuze et quelques autres qui regardaient ailleurs, hallucinés par ces monuments de bêtise.
Ces pauvres chéries, elles étaient victimes parce que femmes, fleurs défraîchies du mâle, pétales fanés, amoureuses de leur mère et tuées par leur père ! Pauvres connes qui croyaient qu’une blessure suffisait à construire une œuvre quand elle ne conduisait qu’à une vie ratée à moins qu’un riche mariage et une vie oisive, comme ce fut le cas pour Louise Bourgeois, ne la sortît de la bouillasse zolacienne.
Une femme araignée qui ne sut que faire faire son autoportrait dans un gigantisme à la mode. Une araignée pas même capable de faire une toile.
Ouf, dans vingt ans elle aura été oubliée!