genre: aventures
Année: 2003
durée: 1h55
l'histoire: Lara Croft explore un temple chinois où elle fait la découverte d'une sphère qui contient la boîte de Pandore. Chen Lo, le chef d'un syndicat du crime, lui dérobe l'objet pour le vendre à Reiss, un criminel qui entend utiliser les pouvoirs de la boîte pour provoquer la fin du monde.
la critique de Eelsoliver:
Tomb Raider: le berceau de la vie, soit Tomber Raider 2, est évidemment l'adaptation d'un jeu vidéo à succès, mettant à l'épreuve Lara Croft.
Après un premier épisode déjà fort médiocre, les producteurs persistent et signent. C'est donc ce cancre de Jan de Bont, déjà réalisateur de l'abominable Speed 2, qui se trouve derrière la caméra.
Dans le rôle de Lara Croft, on retrouve Angelina Jolie, qui porte si bien son nom. Confinée dans ce genre de production nanardeuse, on comprend mieux pourquoi l'actrice cherchera par la suite à changer son image en interprétant des personnages plus complexes dans des films sérieux (L'échange de Clint Eastwood par exemple). Evidemment, dès la petite introduction de cette suite, le film a le mérite de présenter toute sa nanardise (volontaire ?) lorsque Lara Croft fout un coup de poing à un requin (véridique !).
Le reste est à l'image de cette séquence honteuse. En vérité, Tomb Raider 2 pourrait s'apparenter à une sorte d'Indiana Jones version féminine du pauvre.
Enfin... Du pauvre... On sent tout de même un certain budget derrière, mais le résultat reste catastrophique.
Notre chère Lara a certes des courbes voluptueuses mais se révèle peu attachante, car son personnage est totalement inexistant, et finalement improbable.
Aussi, l'aventure proposée se concentre sur la recherche de la Boîte de Pandore. Notre héroïne rencontrera peu de difficultés et foutra des branlées à tout le monde.
Certes, elle sera quelques fois trahie et prisonnière d'hommes machiavéliques, mais elle s'en sortira toujours avec une facilité déconcertante.
Sans compter une histoire d'amour sans intérêt... Voilà donc le programme de cette suite pourrie jusqu'à la moëlle. Allez hop, poubelle !
Note: