Quand on marche ou quand on court on dépense une certaine énergie qui est en général proportionnelle à la distance marchée ou courue. Mais avec des patins à roulettes il suffit de s’élancer(en supposant que la surface est plate) et on s’arrête au bout d’une certaine distance. On a moins besoin d’énergie pour avancer. Cependant la surface n’est jamais parfaitement plate. Soit il faut monter et fournir des efforts(cet inconvénient peut être supprimé si on veut bruler des calories, mais on partira du principe que le but est de faire le moins d’efforts possibles),soit il faut descendre et la vitesse à laquelle on est entrainé par la pente augmente et il devient difficile de se contrôler(risque d’accident).L’objectif de ces prochaines années est d’arriver à mettre en place un type de patin à roulettes permettant de palier ces deux défauts à la fois.
Les petites roues ou roulettes seraient reliées à un petit transformateur(comme pour les éoliennes)inséré dans les patins qui permettrait de transformer l’énergie cinétique des roues en énergie électrique ensuite stockée par une batterie.
Comment cela fonctionnerait-il?
Quand on descend, l’énergie cinétique au lieu d’augmenter, se stockerait dans la batterie, ce qui générerai une vitesse constante. Puis, au moment de monter, au lieu de dépenser l’énergie de notre corps(ce qui ne pourrait pas être souhaitable si on a envie de perdre des calories), l’énergie accumulée lors de la descente, au lieu de nous faire chuter permettrait d’avancer. En gros ce danger(ou cet inconvénient) serait transformé en un avantage.
En fonction du poids de la personne qui utiliserait ces patins(l’énergie cinétique fournie et à fournir est proportionnelle à la masse), soit il faudrait concevoir des patins pour un poids approprié soit des patins réglables suivant poids.
Moins d’énergie à dépenser pour aller faire les courses et si on a quelques sacs à porter, alors on fait quelques kilos de plus.