Vous pourrez clamer qu’il s’agit d’une coïncidence, je n’en croirai rien. Au premier véritable beau jour de ce printemps qui n’en finissait pas de tirer ses airs maussades, je suis tombé par hasard sur le nouveau recueil de Pierre Autin-Grenier. Ni les affiches du métro ni Le Monde littéraire ne m’avaient prévenu. C’est tous les jours comme ça : hé bien, non, parce que découvrir un livre de cet auteur quasi confidentiel au coin d’une trouée ensoleillée, c’est comme recevoir la confirmation inattendue que la vie tient parfois ses promesses.
Première surprise : adieu la collection "L’Arpenteur" de Gallimard, qui a valu à Autin-Grenier de se retrouver en bonne place jusque sur les présentoirs de la Fxxx pour Friterie-Bar Brunetti, le revoici chez un petit éditeur, bordelais celui-là, Finitudes.
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