Fallait bien que ça tombe quelque part, et on n'allait pas le laisser passer à coté de notre panier. Cet album est trop précieux.
Il revient de loin (1980) mais avec furie après l'excellent film Control de Anton Corbijn (2007). Rien n'irrite plus que cette batterie lente et plate, comme laissée pour compte. Pourtant, rien n'a lieu sans elle et la voix mortuaire et flottante du chanteur Ian Curtis