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fareneit

Par Plouf
tiens t'as vu la température, à ces degrés c'est la brulure, mec deconne pas c'est farnheit, tout est trop grand chez les rikraks, ramène toi tout en celcius, on peut sbaigner! la science infuse, c'est toi qui l'a , t'es pharmacien, ou tu tl'a pète t'é qu'un vendeur, reste éclairé, on tla ressort sur toute l'année. c'est comme à la sortie du port, manqait dix cent pour le parkinge, la honte ou bien un coup du sort, t'avais sorti lbillet dcinquante, j'en ai sifflet tout mon bonheur, pour la monnaie c'était pas l'heure, alors sous les dessous dtapis, tu trouveras je te le dis, on a trouvé un euro cinquante, c'en était trop , un sirop menthe moi j'ai rien voulu en échange, fallait partir, que je le dise, sinon bloqués dans ltrou à rats, la nuit à laver tous les plats; jme suis tiré au T E R , un peu marché, j'étais pas clair, moi j'avai rien j'étais trop moche, qui voudrait bien me fair les poches, on vit un monde de misère, deux trois cloportes à mes affaires, en ont voulu, anéantis, par trois braves en képi blanc, moi je criais vive la légion! j'ai pris le train j'étais vénère, en vingt minutes je désespère, j'ai mon billet à la machine, jme mets tranquille à la fraicheur, pour du bol il est à l'heure!

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