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snorounanne reçoit ce soir Madonna!
Notre congé en milieu de semaine, rare que nous en avions. Parce qu'il fallait se grouiller le corps au complet, le dimanche, qu'il nous était permises d'avoir le congé sur semaine. Que voulez-vous? C'est le métier qu'il le demande, l'exige et le grand boss!
J'ai deux patrons, deux grosses têtes d'une entreprise de télémarketing médiatique prenant à eux deux, tout ce qui touche dans les domaines artistiques, nouvelles, sports, musiques. Sans laisser de côté, les revues, les magazines, les journaux.
Le grand boss, je l'ai pas encore croisé. Le boss, c'est Pierre Carl Péladeau. C'est la sangsue, le collecteur des chaînes de télé-communications. Il s'empare de tout ce qui s'écroule ou de tout ce que la cenne devient en peu de temps, des millions!
À la veille de l'émission ayant fait du tonnerre, l'autre soir, "snorounanne reçoit ce soir" ... Paella et moi s'étions payées un luxe dans un chic restaurant de Montréal. Nous avions choisi une place aux allures mondaines mais qui pouvait tout aussi bien faire l'allure "une fois suffit merci"
Voici une image pour vous, mesdames et messieurs et la bande textuelle suivra de cette scène. Nous étions, dimanche 25 avril.
Très bon choix de resto et comme je le disais, une fois suffit merci!
Paella - Merci! Vous êtes gentil. (Disait-elle au photographe)
snorounanne - Euh... Ma belle Paella, je crois que le gentil monsieur le photographe attend d'être bien payé.
Paella - Ah... ah bon! Navrée! Je pensais...
snorounanne - Rien n'est gratuit, ma chouette.
Paella - (prenait son fourre-tout) Je sais, snorounanne. Ça m'a juste échappée. Et combien, pour la photo?
photographe - Quinze dollars, madame.
snorounanne - (chuchotant) Avec ces quinze dollars, c'était une partie du pourboire que tu payais, ma jolie. Voilà quand on veut flasher...
Paella - Tenez mon bon monsieur et merci. (Il lui remettait la photo)
photographe - C'est moi qui vous remercie. Passez une agréable soirée, mesdames. (Quittant)
snorounanne - Tu me fais voir?
Paella - (regardait la photo) Non... t'as voulu te moquer du photographe et de moi. Tu ne la verras pas. (La rangeant dans son fourre-tout)
snorounanne - Je t'en prie, sois pas vache. Je disais ça pour rire.
Paella - À la maison et si seulement, tu ne dégénères pas.
snorounanne - (La serveuse passait) Mademoiselle? Pardon? Nous avons terminé, puis-je avoir l'addition s'il vous plaît?
Paella - Tu plaisantes? Je n'ai pas dit que j'avais terminé.
serveuse- Une seule facture pour ici?
snorounanne - Moi si. J'ai terminé. Seulement la mienne, mademoiselle.
Paella - Ne l'écoutez pas. Elle plaisante. Elle me fait du chantage.
serveuse - Je vous connais, vous deux! Vous êtes snorounanne d'Humour et vous Paella Longlais de la télé.
snorounanne - On a été photographiées par ce monsieur et elle refuse de me la montrer. Vous pensez pas que je vais tolérer son enfantillage toute la soirée?
Paella - (riait) Elle nous fait marcher, vous et moi. N'en faites rien. Je vais lui montrer la photo, ça calmera son côté enfant. (grimaçant)
serveuse - Alors, j'emporte le dessert et le café?
snorounanne - Mettez qu'une seule facture, à son nom. (souriant de manière taquine)
Paella - Emmenez-la dans les cuisines comme plongeur. Ce que tu peux être bébé.
snorounanne - Oui je vous prie. Emportez le dessert et le café. Entre temps, elle aura le temps de lécher son assiette.
Paella - snorounanne... voyons... un peu de classe... tu vas me mettre mal à l'aise et la serveuse.
serveuse - Non, ça va. Étant une fan des émissions de snorounanne, je sais que rien n'est méchant.
snorounanne - Tu vois? J'suis une idole... la demoiselle m'aime, elle.
serveuse - Prenez tout le temps. Je vous servirai le dessert et le café quand vous me ferez signe. (Débarrassant assiettes et coupes et quittant)
Paella - Merci bien.
snorounanne - Je peux la voir?
Paella - Sérieusement snorounanne... arrête de déconner. On est dans un luxueux restaurant pas chez McDonald.
snorounanne - Je n'ai rien dit de déplaisant ni de déplacé à la serveuse et ni au photographe, à ce que je sache.
Paella - (sortant la photo et la lui montrant) Regarde-toi.
snorounanne - (prenant la photo dans les mains) Quinze dollars pour un format 6 x 4! Non mais, ça fait chier... Toi, tu as l'air superbement exquise. Moi... regardez-y la fiole!
Paella - Tu es très jolie et si tu l'aimes pas la photo, je la garde. (reprenant la photo et la rangeant)
snorounanne - Tu as déboursé quinze beaux dollars, c'est sûr qu'elle t'appartient. Avec ça je t'aurais achetée une petite gerbe de roses. Habituellement, ce sont des vendeurs de fleurs dans les lieux publics. Pas des... clicheurs.
Paella - Tiens tiens! Tu aurais acheté des roses que pour moi, snorounanne?
snorounanne - Oui... quoi? Tu trouves que ça fait trop gentilhomme? Tu es (s'approchant et murmurant) très belle dans cette robe. (passant les mains sur les yeux) Dire que demain soir, c'est le talk-show avec Madonna! Te rends-tu compte?
Paella - Aurais-je le droit de lui demander un autographe? (toute souriante)
snorounanne - (D'un air sérieux) Madonna, sa signature, est payante. Y a rien chez elle qui se donne, ma fille.
Paella - Tu te moques de moi? On paie pour avoir un autographe de Madonna?
snorounanne - Deux cent cinquante dollars pour sa signature.
Paella - C'est une pétasse...!
snorounanne - Ouais... comme tu dis. Et demain, je fais une entrevue avec cette lionne déchaînée. Dieu... je sens que je vais vomir mes tripes.
Paella - Retiens-toi encore un peu. Je viens de faire signe à la serveuse pour le dessert et le café.
snorounanne - Tu sais que j'adore ce bonnet, te l'ai-je déjà dit?
Paella - Trop de fois, je crois pour en connaître ta sincérité. Merci pour ces attentions.
snorounanne - Madame Grimaldi! Vous me charmez! Voilà le nom de cette dame que je cherchais, bon sang! Tu lui ressembles comme deux gouttes d'eau.
Paella - (buvant le reste du vin dans la coupe) Je te vaudrai ça, un jour. Petite comique va...
De dimanche à lundi, la nuit avait été mouvementée, troublée. Je n'avais, qu'en désespoir de cause, dormi que deux heures à peine. J'étais dérangée par les propos infâmes de cet homme musclé intelligemment mais amèrement si ancré dans ses fantasmes d'animal d'homme cro-magnon aux airs d'un prêcheur voulant ardemment et à tout prix me sauver de ces femmes lesbiennes.
Pour sa part, tout était récupérable. La femme lesbienne digne d'être aimée par une femme se limitait de se baigner dans l'engouffrement d'un homme aussi passionné que monsieur ShowToSkan. Il m'avait apostrophiée un certain soir, lors d'une présentation de peintures, de toiles offert par différents peintres, artistes-peintres de la région. Eh oui, à le voir aller dans ses grandeurs de la vie... j'étais déjà morte, car, je n'évoluais pas, je me limitais dans cette sphère de m'obstiner à n'aimer que les femmes. Pour lui c'était insensé que je puisse sentir dès jeune enfant que les filles m'intéressaient.
Il m'avait même lancée, ce soir-là, cette phrase: Christie! Lâchez-moi votre enfance! Vous êtes une femme! Moi, voyez-vous je suis libre! Je peux aimer un homme et une femme. Et vous... vous limitez. Dites-moi que c'est votre choix! Dites-moi que vous êtes satisfaite et on n'en reparlera plus!
Il me cassait les pieds. J'en avais marre. Pour le faire taire, j'abordais dans son sens. Mais il ne lâchait prise. Il ouvrait d'autres conceptions, d'autres perceptions. Je pense qu'il est amoureux de moi et je me demande comment? Est-ce si incorrect que de vivre que pour le même sexe? Ne peut-on pas être heureux(euse) tel que nous sommes et le concevons?
Je n'ai pas choisi d'être homosexuelle. Cela est venu tel que je l'ai senti. Et pour ma part, l'humain n'est pas entièrement libre de faire ce que bon lui semble. Mais de vivre selon ce que son intérieur ressent.
J'ai une image à ce propos et la voici, mesdames et messieurs:
Pour garder l'anonymat je ne dirai point lequel des deux est monsieur ShowtoSkan!
J'avais quitté ces messieurs sans leur souhaiter quoique ce soit. J'étais choquée et dégoûtée.
Je trimbalais ce boulet à ma cheville et j'ignorais pas que ce mercredi en après-midi, il y avait une tribune libre concernant les ovnis, concernant, en somme, le paranormal. J'étais appelée à faire la discussion parmi une masse d'homme, de journalistes d'hommes et de femmes et, bien entendu, à être mise face aux incrédules sur toutes les choses qu'entourent la vie sans en être vraiment témoin. Pour eux, cela est impensable qu'il y ait de la vie plus loin que la vie de ce monde-ci. Des preuves? Combien cela leur en prendraient-ils? Ils ont, eux, la preuve de tout rejeter, car, ce n'est pas à eux que ces choses arrivent. Et c'est sans doute mieux ainsi.
Lundi 26 avril, heure: 20:00
L'émission "snorounanne reçoit ce soir Madonna" est en cours. Nous avons des images exceptionnelles à vous montrer et la bande textuelle y compris et en français.
Sublime cette chanteuse!
snorounanne - Bonsoir Madonna! Comme vous faites des heureux en acceptant notre invitation. Vous allez bien? Vous avez pu visiter un peu Montréal?
Madonna - Bonsoir ma chère belle snorounanne! (Les applaudissements et les sifflements se poursuivaient) J'aurais été déçue de manquer, de refuser ton invitation. Et je vais très bien, merci.
snorounanne - Les gens dans la salle, vous apprécient. J'entends même quelques messieurs vous dire combien vous êtes sexy.
Madonna - (se tournant vers la salle) Merci! C'est trop gentil. Vos épouses doivent vous aimer pour vous laisser lousses comme ça? (riait)
snorounanne - Vous avez eu un peu de temps pour visiter les alentours de Montréal, dites?
Madonna - Bien oui, ma snorounanne chérie. Je suis allée dans le mât... tu sais? Cette espèce de grande... grande bol de toilette que vous avez?
snorounanne - Le stade olympique? Ah oui? Vous y êtes montée tout à fait là-haut?
Madonna - Sans problème, oui. J'ai même craché et j'ai calculé le temps de la chute et... (me regardant et partant à rire) Je blague, je blague. Rien de tout ça est vrai.
snorounanne - Je me demandais... (les sourcils en circonflexe)
Madonna - (Dans la salle, le silence s'était pris) Bon... enfin, j'ai pu les calmer ces quelques mâles en rut.
snorounanne - Au moins, vous n'avez pas levé le doigt d'honneur vers eux.
Madonna - Ouais! On m'a dit que vous détestiez que des stars mettent en exécution cet affront. Je veux te dire une chose, chérie snorounanne. Je l'ai fait en public, devant les caméras de télé, et il n'y aura aucun endroit où je me gênerai de le faire si nécessaire. Certains hommes et qu'importe leur statut, ont mérité cette érection du doigt. Je le fais pas pour me donner de l'importance. J'en paie le prix!
snorounanne - Que pensez-vous de la jeune chanteuse Lady Gaga?
Madonna - (sans avertissement, elle montrait le doigt d'honneur et riait) Voilà ce que j'en pense.
snorounanne - Mon doux... (mettant ma main sur les yeux) Que le ciel me protège!
Madonna - T'as rien à craindre, ma puce. Je te dédommagerai si les gros loups te font des poursuites en justice.
snorounanne - (Lui souriant et regardant la caméra) Nous avons quelque chose à vous montrer, Madonna. Regardez juste là, le moniteur.
La mariée à l'extrême!
snorounanne - C'est vous?
Madonna - Oui, c'est moi sortant d'un bar (riait) Non... C'est ma fille, Lourdes. Elle se déguisait pour une soirée d'halloween.
snorounanne - Dieu! La ressemblance est fracassante! Elle a quel âge, votre fille?
Madonna - Treize ans. Elle aura ses quatorze ans, le 14 octobre prochain. Une belle ados, n'est-ce pas?
snorounanne - À qui le dites-vous... Elle est remarqueblement jolie. Sur cela, si vous le permettez, Madonna, nous allons passer à une pause commanditaire, le temps d'admirer la photo et... mesdames et messieurs, nous vous revenons, en chanson, avec Madonna! Ne quittez pas!
Quelques coupures, m'enfin, il faut suivre, mesdames et messieurs, je ne peux tout mettre en écrit, votre caméra intérieur doit tourner aussi hein?
Une autre nuit passablement moche. La journée était démentielle. Allais-je me confronter à la barre pour défendre ces êtres intelligents et avancés sur notre monde de la technologie? Allais-je me mettre dans la boue à apporter des événements, des incidents partout dans le monde avec photos et textes?
Étais-je seule à sentir et vivre ces phénomènes inexpliqués? Non. Mais la minorité des gens dans toute situation sera toujours considérée comme une minorité. Donc, le concret, la réalité ne sera loin admis dans le grand livre des scientifiques.
Mercredi 28 avril 14:16
Devant moi, un homme et une femme pour écouter. Derrière moi, les journalistes. La tribune libre était, elle aussi, en cours de déroulement.
Professeur Maxwell - Mademoiselle d'Humour... vous représentez un groupe... excusez, je lis ici et je ne fais que citer... un groupe de personnes dotées de dons extras-sensoriels. Et, qu'est-ce à voir avec les Ovnis, les extrasterrestres?
snorounanne - Nous parlions au début de cette tribune libre, du fait que l'humain est développeur de ses aptitudes. Et que l'humain a ce même procédé d'évolution à la naissance. L'apprentissage.
Docteure Pouliot - Vous êtes, vous-mêmes, développeur d'aptitudes sensorielles, mademoiselle d'Humour. Qu'entendez-vous par: C'est le temps des humanités? Pardonnez-moi, je repassais le dossier d'il y a quelques mois déjà et je suis tombée sur cela.
snorounanne - (un peu tendue, les mains étaient froides) C'est ce que j'ai capté, un certain soir, en février 2009, au coucher.
Docteure Pouliot - Expliquez-nous quand vous dites: capter?
Pourquoi compliquer tout avec rien?
snorounanne - Sur une fréquence d'audio électronique, l'écoute, je vous la décrirai ainsi.
Professeur Maxwell - Expliquez-nous ce que vous entendez par: C'est le temps des humanités, mademoiselle d'Humour?
Un homme, parmi les journalistes, s'était levé et attaquait la séance d'une charge de questions.
Inconnu - Avez-vous déjà été témoin d'entité, d'esprit, de fantôme? Parlez-vous aux morts? Est-il vrai que vous vous déplacez d'un point A au point B pour sauver des âmes en détresse et cela par distance? Avez-vous déjà eu des contacts physiques avec les hommes, mademoiselle d'Humour?
Je venais de reconnaître la voix, cette voix acharnante de cet homme. Il n'abandonnera pas la partie. Tant et aussi longtemps que je me serai pas soumise à lui répondre, oui! Je veux baiser avec vous! Essayer cela! Je me suis erronée toute ma vie... ma vie est une erreur... il attendait et fantasmait sur ses assouvissements sexuels. Pauvre homme... Je donnais les réponses mais qu'aux deux illustres du haut de leur balustrade.
À la fin de la tribune libre, je sortais de la grande salle marchant dans le couloir. Le Docteure Pouliot me rattrapait et voulait continuer la discussion sur ce sujet en toute intimité. Elle me proposait d'aller prendre un café. Je la regardais et j'ai senti... d'accepter sa proposition.
Une personne avec un humour intelligent
À ce stade-ci, mesdames et messieurs vous pouvez activer le bouton "jouer" de l'audio. Cette chanson est interprétée par Malinda DeRouen, sur youtube.
Je vous remercie de tout mon être de venir passer ces minutes en lecture. Rapellez-vous que dans ces contenus, il y a des vérités et voire même fracassantes. Et merci au fidèle google pour toutes ces images. La magie est en moi de les reproduire telle que je sens.
À bientôt! Bisous!