« There was only fire.
And then, nothing. »
Ca ne vous aura pas échappé, l’acteur, réalisateur, photographe, enfin, l’Artiste Dennis Hopper nous a quitté hier des suites d’un cancer à l’âge de 74 ans. Et, oui, Gary Coleman aussi est mort, je sais (et je trouve cela encore plus triste finalement, tant il représente à lui seul les dérives du star-system et le vrai côté d’Hollywood. Crade, destructeur et sans pitié…).
Au départ, je ne souhaitais pas écrire de billet là-dessus, n’ayant finalement vu que peu de films avec Hopper (mais les essentiels je vous rassure), et ne souhaitant pas écrire une litanie rétrospective histoire de…
Cependant c’est en tombant sur un article de Some Kind of Awesome que je me suis dit : Ok, on va quand même poster un petit truc.
J’avais oublié que sur l’album Demon Days de Gorillaz, Mr Hopper avait accepté de placer sa voix sur le morceau Fire coming out of a monkey’s head. Il y officiait en tant que narrateur.
Preuve d’ouverture sans doute d’un artiste complet, au parcours pas exempt de défaut, mais parmi les plus remarquables de ces quarante dernières années.
La vidéo est celle d’un concert live à Harlem, durant lequel Dennis Hopper était venu « chanter » (prêcher, tant l’interprétation y fait penser) avec le groupe.
La classe. La grande classe…
Aujourd’hui en voie d’extinction, hélas.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble