Je suis arrivé à Santiago le 16 avril après 3 vols consécutifs… En réalité, j’aurais du n’en prendre qu’un seul mais pour une raison qui m’échappe encore, j’ai du faire: Auckland (NZ) – Sydney, Sydney – Auckland et enfin Auckland – Santiago de Chili… Résultat des courses, j’ai voyagé plus de 23 heures d’affilée. Rajoutez à cela le décalage horaire de 16 heures et vous obtiendrez un Laurent totalement au bout de sa vie. Bref, mon arrivée en Amérique du sud fut réellement “sportive”. Mais la bonne nouvelle, c’est que j’y ai gagné 24 heures! J’ai maintenant 6 heures en moins que Bruxelles.
Vous allez probablement vous demander pourquoi je suis resté aussi longtemps à Santiago. Hé bien, j’avais besoin de temps pour préparer quelques petits projets de voyage ici en Amérique du sud. Je vous en dirai un peu plus lors de mon prochain article.
J’ai également eu un peu de temps libre et je me suis rendu à Valparaiso sur la côte (occidentale bien sûr, l’orient au Chili, ce sont des montagnes). Une ville haute en couleurs! Ce qui m’a plu, c’est l’ambiance qui y règne et son architecture, quoique légèrement brouillonne… J’ai rencontré plusieurs personnes dont deux couples charmants. Je fais un petit coucou tout particulier à Steph & Marc. Je recommande aussi la bicyclette, un petit hôtel super bien placé avec Gilles, un hôte des plus charmants! Bien que je n’y sois pas resté très longtemps, cette ville m’a beaucoup apporté et je m’y suis vraiment bien amusé. La capitale du Chili, Santiago, est très grande et très, mais alors très polluée… Elle se classe deuxième ville d’Amérique du sud la plus polluée après Mexico City. J’ai eu un temps magnifique durant tout mon séjour. Et grâce à Barbara & Joris, j’ai pu rencontrer un max de monde. On a aussi fait une journée de trek dans les montagnes qui entourent la ville afin de voir à quoi ressemble Santiago de loin, vous verrez dans mes photos, la couche de “smog” est vraiment frappante. Je terminerai cet article en disant que j’ai vraiment été frappé du changement de culture en passant de l’Asie et de l’Océanie à l’Amérique du sud. On voit ici des gens qui se touchent et qui s’embrassent dans la rue! On sent une chaleur et une passion que je n’ai pas retrouvées dans les deux continents précédents. Et ça me plaît! Enfin, Je suis aussi heureux de pouvoir pratiquer mon espagnol qui ne m’avait plus servi depuis si longtemps. D’ailleurs je dois dire que je le sens!Restez connectés, je vous tiens au courant de mes petits projets tout bientôt.
Les photos sont ICI