En détournant de la sorte des campagnes de publicité bien connues pour leur côté sexy, cet annonceur se place dans une continuité mais aussi en marge – ce à quoi la réclame nous a habitué depuis longtemps. Là où le travail est quand même bien fait, c’est qu’il témoigne d’une connaissance de la « geek attitude » tout à fait pertinente, notamment en montrant ses représentants comme des sex symbols et en en démontant ainsi le cliché qui a la vie dure – ce qui a au moins le mérite de replacer les choses dans un contexte plus proche du réel, chose pour le moins rare dans le domaine de la comm’…
Si j’ai déjà abordé le sujet de la publicité avec la chronique récente d’un ouvrage qui en démonte l’univers, et donc les tenants et les aboutissants réels, il m’a néanmoins paru important de vous signaler cette initiative : car si les temps de crise sont les occasions de remises en question, comme je le disais au début de ce billet, elles sont aussi – hélas – des périodes de graves pénuries d’emploi, comme nous le savons tous…