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Par Plouf

l'infini démesure, où ont plongé nos vies,

d'infinies meurtrissures parfois jusqu'à la nuit,

meurt de démesure, en mesures du temps,

je pleure sois-en sùre, de nos pleins sentiments.

écoutes - bien nos peines, qui geignent en larmoiements,

nos échos se déchaines, de nos égos mouvants,

et je suis bien en peine , de nos croire vivants,

et de a jusqu'à Z nous nous vimes croyants,

histoire policière de jours incessants,

tu cesses cet ictère ou jaunisse en pleurant,

ou d'un coléoptère abattu ou vivant,

tapi sous le tapis de mornes sentiments!

rien n'est plus vrai en somme que tu crois maintenant,

avant que tu croasses , quel émerveillement!

je plonge dans la fange de viles sentiments,

mais que la route est belle en tons tonitruants!