Jadis la nuit s’armait d’épouvantables mains (Jean Joubert)

Par Arbrealettres


Jadis la nuit s’armait d’épouvantables mains.
La géante couvrait le dormeur replié
comme ces morts rendus aux matrices pierreuses.

Voyage souterrain,
longue errance que clôt l’offrande d’une torche.

(Jean Joubert)