Abstraction lyrique

Publié le 27 mai 2010 par Pjjp44
 Yahne Le Toumelin- "la mer couleur d'absinthe"
Après une portion de nuit  quasi identique dans les symboles qui m'habitent, ou qui m'agitent (je rayerai un jour la mention inutile, ou les deux ou...)  à une tempête méditerranéenne, savez-vous! De celle qui ne prévient guère et vous tombe sur le ciré-Vi ,foi de breton il y a toujours un ciré quelque part, pas très loin et quand-même-et ensuite et ainsi de suite lorsque la vague s'en est revenue à de plus calmes esprits et que le vent apaisé pour un temps, mais lequel? c'est à notre tour de souffler, doucement- faudrait voir à ne pas rallumer les braises- respirez qu'elle disait la gentille dame au doux sourire de la sophro- dont j'ai oublié une partie des exercices, parce que ...parce que! et alors? et après?Et bien vois-tu!  dans les z'hasards des méandres de la net-aventure sur clavier incorporé et  des liens qui se tissent et se défont parfois (mais pas toujours) aussi vite que... soudain!comme si à l'instant on en avait besoin! Une Belle rencontre sur une toileet logique aussi  peut-être... Non?(là je me cause moi-même personnellement)Elle s'appelle Yahne le Toumelin.situation de famille:  fille de marin et soeur de Jacques Yves le Toumelin , navigateur solitaire et mère de Matthieu Ricard-porte parole du Dalaï lama..et elle même: nonne bouddhiste et artiste peintresacré famille quand-même Dame!personne n'est parfait n'est ce pas! et y'aurait  pire sans doutes!Voyez, moi par exemple... ou alors ptêt  dans une autre vie, nonne bouddhiste ça ne me déplairait pas forcément.et ce n'est pas qu'une affaire de costume même si cela me semble tout à fait pratique et seyant, je dirais même plus: indémodable.Attention (parce qu'à force je vous connais..) pour ma défense, et mes excuses, d'avance... je ne suis pas d'une religiosité à toute épreuve, mais comme de la séparation de l'Eglise et l'Etat, j'ai retenu la leçon qu'il ne faut jamais  laisser les affaires spirituelles qu'aux seuls détenteurs du label -made in mystique- il m'arrive -sans marque déposée (là je me répète un peu)  de penser, que ce serait drôlement ballot, si le passage -somme toute-rapide sur une moitié d'orange bleue n'était qu'une affaire de boulons ou de flux sanguin. Ma fragilité  récurrente (quoi! pas vous? mince alors! )et les angoisses existentielles qui l'accompagnent me font espérer autre chose des rouages de l'humanité même si je ne sais pas vraiment de quoi je cause, présentement...J'ai coutume de dire que de mes passages entre les griffes- pas toujours bien propres-de la religion aussi catholique qu'officielle sous mes latitudes, il me reste quelques renvois qui se manifestent à l'occasion quand elle fait son larron. Mais est-ce bien  forcément de cela dont il s'agit?
Bon, là... je sens que je me perds et vous avec aussi revenons-en ,après le verbe digresser à tous les modes...à l'idée de départ qui était, merci d'avoir suivi, la découverte des oeuvres de Yahne Le Toumelin artiste  peintre dont le frangin me racontait des histoires de sa mer  quand j'étais ptit et scout marin (Ah! oui, vraiment, c'est du lourd comme bagage) 
"l' abstraction lyrique" qu'elle s'appelle son expo dans sa galerie  -pratique- qu'est toujours ouverte et personnellement, c'est une expression qui m'interpelle, où.? heu!  je sais pas, mais...bon...qu'importe!

Yahne Le Toumelin- "amor"

Yahne Le Toumelin "vagues sur vagues"
Yahne Le Toumelin "Abyss 2"
Yahne Le Toumelin "les cinq océans"
Yahne Le Toumelin "bon voyage"