A coup de fouet le vent chasse les spectres gris
Vers la fenêtre où bruit l’élytre d’une abeille.
Demain je dormirai dans le lit du soleil
Sur la terre et le blé de son corps ébloui.
(Jean Joubert)
A coup de fouet le vent chasse les spectres gris
Vers la fenêtre où bruit l’élytre d’une abeille.
Demain je dormirai dans le lit du soleil
Sur la terre et le blé de son corps ébloui.
(Jean Joubert)