Dans un billet daté du 13 avril dernier, la future conseillère nationale verte Adèle Thorens s’extasiait des performances du TGV français qui venait de pulvériser la vitesse mythique de 500 km/h en atteignant 574,8 km/h.
Elle commençait son billet ainsi : «Bravo à la France, qui a su investir dans le rail et ses nouvelles technologies !»
Une question me trotte dans l’esprit depuis lors : en quoi le TGV est-il un progrès pour les transports publics ? En quoi est-il une avancée sur le plan de l’écologie ?