Comment la science fabrique des contes de fées
Publié le 26 mai 2010 par Fuzzyraptor
Il était une fois un gros ovule indolent qui dérivait dans les inhospitalières trompes de Fallope. Sa destinée était terrible : s’il n’était pas fécondé d’ici quelques heures, il mourrait… A quelques centimètres de là, un bataillon de petits spermatozoïdes bravait l’obscurité, en quête de leur Belle au bois dormant. Beaucoup tombèrent, épuisés. Les rares au flagelle assez puissant avalèrent la distance promptement et se posèrent sur l’œuf. La lutte pour y entrer commença. Au bout d’efforts acharnés, le plus doué réussit enfin à pénétrer dans le saint des saints. L’ovule, enfin fécondé, était sauvé.
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