Ce groupe berlinois des années 80 avait choisi de chanter en allemand, malgré le handicap que cela peut comporter, et on peut s’en rejouir : l’ensemble gagne ainsi en étrange, en « exotisme ».
Idéal pour les descriptions d’invocateurs se livrant à quelque magie noire (les nuits de pleine lune, dans les forêts malfamées ou les ruines obscures), ce titre peut être aussi judicieusement utilisé pour rendre plus intenses les invocations du Unausprechlichen Kulten de Von Juntz (Les maîtres des arcanes savent de quoi je parle…)
Ref : Bart CD 331, Halber Mensh, Some Bizzare records