Signé par Maggy, nous avons reçu à l’adresse des vidéos à partager :
yourvideo@yourmusichall.com
ce mail :
« C’est l’été (en température tout au moins), la saison langoureuse. Mieux vaut en profiter tout de suite… Alors je vous envoie cette chanson de Mélanie, pardon Melody, GARDOT qui est toute de douceur et de sensualité… »
On appuie sur le bouton du player… On se laisse bercer, littéralement et… c’est fini ! Quelle tristesse ! C’est du miel, du baume, de l’élixir… Bref, c’est bien et on n’a vraiment pas envie que ça s’arrête. Tout autant qu’un bon hard-rock. Rien ne les oppose ! Tout est question de moment, de circonstance, comme l’écrit très justement Maggy…
C’était en Novembre 2003, dans les rues de Philadelphie… Elle était à vélo. Un carrefour, une jeep qui ne la voit pas… Accident. Transportée à l’hôpital on lui diagnostique une sérieuse commotion cérébrale avec altération de la partie du cerveau qui coordonne les deux hémisphères. Elle ne parle plus, ne se souvenant plus des mots, ne marche plus ni ne supporte la lumière vive (d’où ces lunettes noires), les sons trop forts et même la présence des autres… Durant un an d’efforts, Mélanie réapprend progressivement à vivre au travers de la musique. Elle jouait du piano (à seize ans, elle se produisait dans les bars !) ; elle se met à la guitare (en suivant les leçons d’iTunes !). Pour prononcer correctement, elle chante. Et pour être plus à l’aise, elle écrit des chansons inspirées par ses maîtres du jazz : Judy GARLAND, Janis JOPLIN, Miles DAVIS, Duke ELLINGTON, George GERSCHWIN ou des artistes latinos comme Stan Getz ou Caetano VELOSO.
Et voilà donc comment le destin a frappé une jeune et jolie « designer » et l’a métamorphosée en « chanteuse de jazz » ! Écrivant, interprétant et prêtant son concours à beaucoup d’artistes, elle a une grande activité soutenue par la macrobiotique et le bouddhisme.
L’an passé, elle a enthousiasmé l’OLYMPIA et se trouvait il y a quelques jours au Festival de CANNES… Les médias commencent à en parler…Allez, pour vous la faire connaître encore mieux, un deuxième YOUR VIDEO, en bonus :
ET VOUS, AVEZ-VOUS ENVIE DE L’ENTENDRE SUR SCÈNE ?
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