Il y a maintenant quelques semaines, Anaïs m’a gentiment proposé de faire tester le tout premier parfum Biotherm Homme à l’homme de mon choix …
Et après quelques péripéties (vous savez maintenant a quel point La Poste est mon amie), j’ai décidé d’offrir ce dernier à l’Homme pour son anniversaire (et oui le timing était parfait en plus !) et j’ai pu avoir moi aussi un beau brun ténébreux pour me faire la démo de sa force … (non je déconne, on a pas de baignoire, on a pas pu tester s’il arrivait a dompter la vague comme Tyson Ballou).
Par contre, cette fragrance « fraîche et fruitée » (ceux sont ses mots) a bien l’air d’avoir été adoptée … comme un parfum idéal pour l’été qui pointe enfin son museau !
Pour ma part, je la trouve aussi très plaisante et je peux témoigner qu’elle ne vire pas trop sur la peau en fin de journée (c’est bien connu que celui qui porte un parfum ne le sent plus au bout de quelques minutes, il fallait bien que je donne de ma personne pour ce test !) … De plus, je trouve le flaconnage très réussi, pure et pratique, mais surtout très beau, le design est en parfait accord avec le message que Biotherm veut délivrer (enfin je trouve).
Après visionnage de cette vidéo, où le parfumeur Bruno Jovanovic nous explique la création de ce parfum, je suis très fière de mon cobaye qui a su reconnaitre les notes de pamplemousse de ce parfum …
Et comme Biotherm ne fait pas les choses à moitié généralement et qu’il s’agissait de la sortie de leur tout premier parfum pour Homme, ils ont fait appelle à une grande agence et un grand photographe pour mettre en place un film publicitaire représentant une joute entre l’homme et l’eau. Cette idée étant reprise dans un site Internet au contenu inédit : Une technologie de reconnaissance des mouvements par webcam permet à chaque visiteur de tester sa force en quelques gestes …
Et pour jouer partout et profiter d’avantages chez les parfumeurs, une application iPhone va très bientôt voir le jour …
Peut-être que l’Homme passera par ici pour finir de donner ses impressions ?
On peut toujours rêver, non ?