Eagles #4 :
Glenn Frey : chant, guitare, claviers
Don Henley : chant, batterie
Don Felder : chant, guitare, claviers
Joe Walsh : chant, guitare, claviers
Timothy B Schmit : chant, basse
Automne 1977, la nouvelle formation des Eagles entre en studio pour enregistrer un successeur au populaire “Hotel California”.
Malheureusement, il faudra deux ans aux Eagles pour compléter leur nouvel album, accouché dans la douleur, et dans un climat de tensions extrêmes.
En hiver 1978, sortie d’un 45 tours de Noël inédit : “Please come home for christmas (Brown-Redd)-Funky new year (Frey-Henley)” (#18 US).
En Septembre 1979, les Eagles sortent enfin de l’ombre avec un nouvel album : “The Long Run” (#1 US), produit par Bill Szymczyk.
The long run (Frey-Henley)
I can’t tell you why (Frey-Henley-Schmit)
In the city (Walsh-De Vorzon)
The disco strangler (Frey-Henley-Felder)
King of Hollywood (Frey-Henley)
Heartache tonight (Frey-Henley-Seger-Souther)
Those shoes (Frey-Henley-Felder)
Teenage jail (Frey-Henley-Souther)
The greeks don’t want no freaks (Frey-Henley)
The sad café (Frey-Henley-Walsh-Souther)
Musicien Additionnel :
David Sanborn : saxophone (The sad café)
Si cet album a plutôt bien vieilli, il fut passablement critiqué à sa sortie, et reste pour moi un cran en dessous des albums précédents.
Trois singles en furent issus : “Heartache tonight” (#1 US), “I can’t tell you why” (#8 US) et “The long run” (#7 US).
Personnellement ma préférence va à “In the city” et “The sad café”.
Les Eagles démarrent une nouvelle tournée, mais les relations entre les musiciens se sont terriblement détériorées, et le groupe se sépare en été 1980.
© Pascal Schlaefli