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La critique de Claude :
Dans les romans de Paasilinna, on découvre un peuple qui a les pîeds sur terre et un cœur généreux – pas seulement le cœur d’ailleurs, si vous voyez ce que je veux dire -. Justement, Antti Kokkoluoto, le héros de Sang chaud, nerfs d’acier est un Finlandais comme on les rève. Parmi ses traits les plus attachants, sa capacité à tirer le meilleur des êtres - humains et animaux - .
Et vous comprendrez mieux l’histoire dramatique de ce nouveau membre de l’Union européenne, maître es foresterie, machine-outils, téléphonie portable et conduite sportive, également, le saviez-vous, le pays d’Europe qui a le mieux su réformer son système éducatif.
Une bonne lecture, saine et distrayante.
Roman
traduit pat Anne Colin du Terrail, Denoël, 218 p, 18 €