Running research for health and performance
Après l’interview de Karim Oudina, revenont un peu sur l’initiative lancée au cours de ce marathon de Paris 2010 et qui avait pour but d’étudier, tout au long de la course les effets de la fatigue, de l’effort sur leur organisme.
Ce projet, mis en place par Veronique Billat, vice championne de France de Cross, a pour but d’étudier les effets d’un entrainement adapté et d’un monitoring complet de l’activité corporelle pour améliorer les performances des athlètes.
Véronique Billat
Pour 10 volontaires de la formule Science, ce sont les données de fréquence cardiaque, vitesse, saturation du sang en oxygène (index d’une bonne ventilation efficace), ECG et fréquence respiratoire qui ont été enregistrées.
Pour les 10 engagés dans la formule simplifiée, c’est juste la fréquence cardiaque, la vitesse et la saturation du sang en oxygène qui ont été mesurées.
Voilà en substance le bilan de l’expérience :
Le données récoltées montrent clairement que les coureurs ne s’octroient pas ou pas suffisamment de temps de récupération par des variations d’allures se qui se traduit par un épuisement prématuré donc une chute de la vitesse et une fin de course plus laborieuse
Source : Bilan Marathon de Paris www.lephe.org
Site officiel : http://www.lephe.org/
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