Et pourtant, cet autre côté, un peu en retrait des balises, vers cette brise qui fait chavirer les ramures, tout près du quotidien silencieux, des devoirs accomplis sans fanfare, des protections affectives qui font l’évidence. Ainsi soit le paisible monde.
Onirique onanisme de la plume ? Certes… une pointe sans fond, mais encore libre de choisir son puits. Ôte-toi de mes ténèbres, tu m’indiffères !
Texte accepté par le journal Le Monde(accessible aux abonnés)