Le voluptueux aime l'argent pour le faire servir à ses
jouissances, le vaniteux, pour acquérir par lui la gloire, l’homme de peu de
foi, pour le cacher et le garder par peur de la disette, de la vieillesse, de
la maladie, de l'exil. Et il espère plus en son argent qu'en Dieu créateur de
l'univers, dont la Providence s'étend jusqu'au dernier et au plus infime des
vivants.
Troisième
centurie sur l'amour