Avant dimanche soir, minuit, le cachet de ce blog agonisant faisant foi(e), un apéro (pas) géant, aura, présentement, ici, lieu.
En attendant, vas-y, ne te gêne pas : bois, fume, ou pire que ça, là, oui, ici, sur ce blog, via les commentaires : exprime, crie, gueule, éructe, râle, sur cette page, cet apéritif, il est pour toi.
Tu as 48 heures.
Ensuite de quoi, j’efface ton ivresse (ou pas) et la remplace par bon me semble.
Ou me sers (comme on se sert un verre) pour torcher le billet promis.
A vrai dire, dimanche, et dans l’espoir que tu y ailles, que tu gueules, que tu jactes, je passe, recta, au plat de Résistance.
Je te dirai comment, je la vois, la suite, de ces apéros dit : "géants" ...
Devance-moi …