Après plus de 2 000 000 visites, le réseau social des tyrans crée en avril dernier ferme ses pages. Les antennes portugaises d’Amnesty International n’ont plus les moyens financiers, techniques et humains pour maintenir tyrannybook.
Basé sur le même modèle que Facebook, Tyrannybook permettait de suivre et d’interagir quotidiennement sur les méfaits des leaders politiques qui violent les Droits de l’homme.
On comptait parmi eux Robert Mugabe, Hu Jintao, Mahmoud Ahmadinejad, Alexandre Loukachenko…
La démarche se voulait constructive, puisque les membres pouvaient échanger sur les différents sujets en apportant leurs solutions pour améliorer la situation.
La page se ferme, mais le but d’Amnesty International a bien été atteint : sensibiliser les internautes sur la défense des Droits de l’homme.