Où on a de quoi faire une batterie de cuisine

Lily Bart, dans The House of Mirth : « I wasn’t meant to be good ».
Moi non plus.
Bonjour les quiches,
Tu sais que dans une semaine, j’aurai déjà fait un examen, et je l’aurai sûrement déjà planté (celui sur les dessous - affriolants - du discours rapporté).
Hier après-midi, en me plongeant dans ce que l’Internet mondial avait à me proposer sur les différentes œuvres au programme – je sais, c’est mal, mais je n’ai pas le temps de faire des fiches sur les personnages pour les 12 œuvres d’ici à la semaine prochaine – t’es marrant toi – bon arrête de m’interrompre, Jean-Jacques, sinon ce billet va encore prendre des proportions insensées – je suis tombée sur des bouts tutubesques des adaptations cinéma ou télévision desdites œuvres.
Eh ben, mon cochon, il y a de la casserole qui traîne.
Imagine Gillian Anderson, ses tailleurs pantalon, son Mulder et ses extra-terrestres.
Et bim, en wannabe Blair Waldorf du New-York de 1900.
J’ai pire. Imagine Daniel Craig, ses costumes, ses yeux, ses belles voitures et ses belles fesses en moumoute Louis XIV.
Et bim, dans Moll Flanders avec le Dr Elizabeth Corday d’Urgences, qui ferait mieux de pas trop la ramener elle non plus.
Enfin, Morgan Freeman, toujours dans Moll Flanders, mais une autre adaptation avec Robin Wright Penn et des dread dans les cheveux.
Ca change de Mandela.
Mais, Matt Damon, qu’est-ce que tu fais ? Tu vas pas t’incruster à chaque fois qu’on parle d’Invictus… Bon ben maintenant que tu es là, reste à dîner au moins.