Que font trois fille, plutôt mignonnes, habitant sous le même toit et se retrouvant à 1h00 du matin dans la petite cuisine, accoudées au plan de travail devant du coca light.
Un concours de rots pardi !!
Rien de vaut quelques rots élégamment disposés dans une conversation pour renforcer des liens car, voyez-vous, c'est quand on rote que les fossés de l'inconnu interlationnel se dissipent. Un bon rot donne à l'intimité unique de cet instant une aura que l'on ne partage pas avec tout le monde. C'est en faisant ce concours que je me suis surprise à compter qui m'avait déjà vu lâcher ce souffle bruyant. Peu de monde en fait. Oui vraiment peu.
Et puis le rot a aussi une connotation moins scato que le pet. C'est plus fun. Alors on se surprend a descendre la bouteille de coca pour laissé éclater des rots qui sifflent, tout en retenu, gras, lourds, nasals ou plus profonds. Il y a plusieurs sorte de rots. Tout dépend de la manière dont il s'échappe.
Et voilà comment trois filles entament une discussion assidue sur la science des rots…