Pour un peu, Cristobal Huet regretterait d’avoir joué les play off de NHL. Entre Rouen et la poule de relégation du Mondial, Lhenry a l’air si heureux.
Ca y est, Dave Henderson est devenu le plus grand sélectionneur français de l’Histoire. Ce n’est pas parce qu’il est né à Winnipeg, ni parce que Patrick Francheterre a été le seul Français à avoir le poste avant lui que ça change quelque chose à l’exploit : grâce à Dave, la France aura une quatrième chance d’enchaîner trois défaites de suite au tour préliminaire. Et si comme en 2009 la France créé l’exploit et se qualifie pour la phase de poules, une nouvelle page de l’histoire du hockey bleu s’écrira. 20 buts contre la Suède, la Lettonie et les Etats-Unis valent bien la fierté nationale, c’est-à-dire dix téléspectateurs sur Sport + et encore quand il n’y a pas de décalage horaire.
La statue de Laliberté
Dave en tout cas, c’est un cerveau : la France ne produit pas de patineur de vitesse. Si quelqu’un avait vu la course de Pascal Briand au JO et s’il avait terminé plus haut que la 33e place, ça se saurait. Donc autant défendre et former des gardiens. La 8e place d’Albertville avait finalement fait plus de mal que prévu mais Dave, à force de séances d’orthophoniste, a fait perdre tous les accents canadiens. Deux buts passés aux Italiens, c’est devenu une habitude, mais cinq marqués au Kazakhstan sans Poudrier, Pouget, Rozenthal et Richer, ça marque une époque. Le reste ce sont des défaites, pas la peine d’en dire davantage en plus personne ne sait ce qu’est est face-off. Pourvu que le hockey sur glace français se dote enfin d’un championnat national, il le mérite.
« Et vous ne laissez pas les vestiaires de la patinoire dégueulasses, le samedi soir c’est ouvert au public à partir de 19h. »
Jeu de briques
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Pacman
Bubble