Dans un autre registre mais tout aussi graphique, quelque stickers qui customisaient une armoire somme toute banale dans une brocante.
Et enfin d'autres graffitis dont certains qui sont toujours présents, comme vous pouvez le voir dans ce précédent post que j'avais fait sur le sujet, d'ailleurs on peut voir des restes de la croix biblique.
Un graff signé ordem, mélange de pochoir à la bombe et au pinceau, conçu dans le style affiche contestataire qui incite le public à réfléchir sur un sujet en particulier. Ici cela s'adresse aux personnes d'Afrique et d'Amérique Latine. Un jeu de mot intéressant est fait avec le mot Africa qui devient AFREECA pour mettre en avant le mot "free" (libre) en rouge, tout comme le logo du tee-shirt de l'enfant qui reprends la signature supposée du graffeur qui nous pousse à nous réveiller et à faire bouger les choses.
Simple, au moyen d'un feutre comme aux bases même du graff, avec un petit côté enfantin dans le style du dessin.
Une bonne structure des lettre avec une texture argentée intéressante, que hélas la photo ne restitue pas bien. Et derrière, les reste de la croix dont je vous parlais en début de post.
Je ne suis pas forcément fan de ce style ci-dessous mais j'admire le travail de structure de l'ensemble et le temps qui a du être nécessaire pour concevoir ce graff dans son intégralité, surtout quand on prends en considération l'atmosphère d'urgence dans lequel ces tableaux géants sont généralement conçu. En même temps, c'est la base même de ce mode d'expression, ce qui en fait quelque part sa force.
Un autre graff (celui de gauche), signé EGO avec tout un travail de structure et de mise en place des différents éléments avec le graffeur au centre de l'action.
Et enfin ces graff sur le principe du pochoir signés OUT, {ziba}. Le dernier n'est pas signé. Ils font quelque peu penser à des masques, chacun ayant son style propre : façon Frankenstein.
Et pour conclure, un grand MERCI à mon téléphone portable et son option appareil photos qui me permet de faire passer ces instants à la postérité en les capturant dans ma mini boîte à images que je dégaine à la vitesse de l'éclaire. Certes la qualité n'est pas toujours là mais cela permet de donner une dimension d'éternité à ces œuvres éphémères.