Impossible d’attendre les horaires d’ouverture du confessionnal. Je me rends directement au presbytère et demande à parler à l’Abbé Noragie. Je tombe malheureusement sur une grenouille de bénitier qui tente de faire barrage. Qu’importe. La porte de son bureau est entrouverte et je me permets de rentrer dans la pièce. Il est assis devant son bureau et semble lire du courrier. Il lève la tête et me regarde d’un air surpris. Nous étions en froid depuis que je lui avais avoué que je mettais presque deux plaquettes de beurre pour confectionner mon Kuign-Amann, et surtout que je m’amusais à le thruithoner depuis presque trois années. (more…)