Magazine Cinéma
samedi 15 mai 2010
Je me souviens l’avoir montré à la fille d’amis. Vers la fin, sa mère qui n’avait pas vu le film lui dit « Et tu vas voir, elle va se transformer en belle princesse ». Et patatras ! L’ogresse reste ogresse et la petite fille s’est mise à pleurer. C’est peut-être la seule erreur marketing du film, les scénaristes ont oublié que toutes les petites filles rêvent d’être une princesse.
Evidemment, moi j’adore ! Cette histoire d’anti-héros faisant des dizaines d’allusions à des films connus, est prenante, on ne s’ennuie pas un seul moment. Le personnage de l’âne est très bien vu, c’est un peu comme le copain un peu bavard et vantard qu’on a tous mais qu’on aime bien quand même.