Petit prodige couvé par les plus grands ( le violoniste Yehudi Menuhin), Nigel Kennedy se fait remarqué avec son interprêtation très dynamique des 4 saisons de Vivaldi.
Je dois avouer que dès la première écoute j'ai été surprise d'être autant emportée! Il ne joue pas la musique, il fait vivre l'histoire et les émotions.
C'est juste puissant! A faire frémir les plus réticents pour le violon! ( y'a que les cons qui changent pas d'avis)
Tout autant éprise de la façon dont il traite l'instrument: il en fait ce qu'il veut! Capable de réconcilier le classique et le rock, l'ancienne génération et la nouvelle à une autre écoute. Et de l'avoir écouté à fond sur la terrasse du sud, avec mon père main dans la main, ne pourra me faire contredire l'idée! Gonflé au point de reprendre Purple Haze de Hendrix. Et ça fonctionne, que dis-je: il y crée une nouvelle puissance! Il détourne et se ré approprie. Il sourit, échange, métamorphose et partage, ça sent la vie à plein, moi j'dis et j'A.D.O.R.E.Ca! Ce Kennedy là, encore un qu'on oublie pas! Il voltige en tous genres, libres de carcans à nous faire voyager et aimer le violon! Fripon du archer, je veux bien me laisser prendre à ses portées altières et rarement terre à terre! A découvrir ou ré écouter!!
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble