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Poeme de Lizzy : Parfois...

Publié le 09 mai 2010 par Illusionperdu @IllusionPerdu

Parfois,

Il nous arrive de se sentir bien,

Comme d'autres fois de sentir un brûlement à l'intérieur qui nous est sien,

Ils sont venus s'encrer dans notre voie,

Cet ange qui nous guide tout au long de notre vie,

Peu quelques fois s'être éteint,

Ceux avec qui nous avions essayé de créer des liens,

Se sont enfuis,

Personne n'est parfait,

Dieu nous a créé imparfaits,

Adam et Ève ont commis un péché impardonnable,

Ce qui fait de nous des êtres irraisonnables,

Malgré notre sentiment d'impatience,

Et d'imprudence,

On essaye toujours de fonder une place dans cette merveille,

Qui se fait vieille,

Les gens ne se battent plus pour leurs efforts,

Ils croient qu'ils ont torts,

Ils se font dire que des balivernes,

Ils se morfondent dans leurs cavernes,

Ils se font petits,

Ils sont anéantis,

Même après leurs accomplissements,

Ils ne prennent jamais le temps de réfléchir,

À ce qu'ils ont construits durant tout ce temps,

À ce qu'ils auraient pu avoir maintenant,

S'ils avaient pris le temps de parler,

De patienter pour communiquer,

On est dans une révolution où les gens ne veulent que ce qui est rapide,

Tout ce qui est invalide,

Tout le monde s'acharne à l'avoir,

Car on a l'impression que c'est une pièce en or,

C'est un monde qui cherche ce diamant pur,

Pour l'essayer et ensuite arracher son coeur,

Et ensuite faire de cette perle rare un accusateur,

Tandis qu'elle essayait de trouver son azur,

Pourquoi toujours jouer de mauvais tours,

Et créer de cette personne un abat-jour,

Tandis que nous en sommes l'auteur,

De cette ampleur,

On croit s'épanouir,

Se réjouir,

Mais ce n'est qu'une impression,

C'est sans contrefaçon,

On ne fait que se désunir,

De cette chanson que nous voulions renchérir,

Chaque pas que nous consumons,

Nous mène à cette pièce remplie de démons,

Cette diablesse qui était au début un coeur en or,

Comme vous l'avez consommez dans toute sa chaire,

Vous avez créé à votre désespoir,

Une forteresse noire qui ne fait qu'apprendre de ses torts,

Elle est dorénavant celle qui détient votre trésor,

Et qui attend le ténor,

Pour vous envoyer aux alligators,

Comme vous avez recueilli son conquistador,

En lui faisant croire des jouissances uniques,

Mais qui n'étaient qu'un simple jeu ironique,

Pour vous, gens de cette Terre,

Qui sont l'un contre l'autre en guerre,

Qui un jour ou l'autre,

Seront les nôtres,

Qui se resserrent,

Par peur d'être foudroyé en un simple éclair,

Et qui seront projetés par ce tonnerre,

En un simple coup de pierre,

À cause d'une simple et piètre,

Requête de votre péché sur cette Terre,

Qui ne vous amènera que dans l'enfer.


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