Avertissement : ce livre a failli rejoindre la liste de mes lectures abandonnées (liste pour le moment non parue).
J’espérais me détendre les zygomatiques, passer un bon moment et rien. Nada ! Et pourtant, je l’ai lu jusqu’au bout (où commence le masochisme ? Je me le demande).
Ce livre ressemble à « Fuck America » avec des personnes Russes immigrées au pays de Big Brother sur un fonds de « pissenlits et petits oignons » de Paris Thomas.
On a le droit aux rêves de chacun, à la vodka qui coule pratiquement à flot tandis que le personnage principal se meurt entouré de femmes. La quatrième de couverture indique « Entouré de sa femme Nina et de ses anciennes maîtresses, l'agonisant souhaite que la fête continue, alors que Nina ne pense qu'à sauver son âme. Un prêtre orthodoxe et un rabbin vont ainsi se succéder au chevet du mourant, et leur rencontre est le point d'orgue, d'une drôlerie irrésistible, de ces funérailles pas tout à fait ordinaires ».
Cet épisode est bref, trop pour être la charpente de ce livre. Conclusion : tout s’écroule !
Et devinez la fin ? Il meurt à la fin de ces 218 pages …
Une déception et je n’y ai trouvé aucun intérêt…Voilà, l’enterrement de ce livre a eu lieu .Sonnez les cloches !
A noter, une fois de plus, une quatrième de couverture élogieuse … qu’est ce qu’ils sont fort en marketing !