Le premier film d’Olivier Coussemacq est sorti ce Mercredi, et déjà quelques critiques traînent ici et là..
Voilà donc un petit film français à découvrir. Car si il ne révolutionne en rien le cinéma français pure souche, il montre au moins que l’on peut y faire des films de qualité, bien écrit et fort bien interprété, qui n’a donc pas à rougir face à la programmation habituelle dans l’hexagone, et c’est déjà ça. (myscreens.fr/)
Drame à mi-chemin entre la question de l’adoption et la manipulation adolescente, le premier film d’Olivier Coussemacq s’en sort plutôt bien. Un cadrage narratif et esthétique des plus réussi. (www.plan-c.fr/)
L’enfance du Mal: un film d’auteur bien écrit, ambiance posée, jeu subtil des acteurs. Un peu hermétique, froid, mais réussi dans son genre (LesCinéastes.fr)
L’enfance du mal est un premier film d’atmosphère maitrisé et prenant qui explore l’interaction de personnages complexes, qui manipulent Le spectateur avec La dextérité des beautés imparfaites mais irresistibles. Un peu long peut-être, il devient alors comme ses personnages : beau mais imparfait. C’est là tout son charme. (unesemaine-unchapitre.com/)