Avis de suppression de rubrique

Publié le 11 mai 2010 par Uneblondedanslaville

Mon calamar géant, attention, ce billet s’autodétruira dans quelques heures.

Là, je sens que je viens d’obtenir toute ton auguste attention.

C’est bien, écoute-moi très fort, c’est important.

Tu le sais, Oualter et moi on est marié pour le meilleur et (surtout) pour le pire depuis quelques années maintenant.

Tu ne le sais sans doute pas, mais je réfléchis très sérieusement à me réorienter sur du ouebe marketing, community management et autre SMO (d’ailleurs, si tu as des offres à me faire, n’hésite pas, je suis preneuse). Et pour cela, j’ai bien l’intention d’utiliser mon blog comme carte de visite à l'occasion si on me le demande (la haute teneur intellectuelle de mes billets devrait achever de convaincre un employeur).

Pour autant, actuellement, j’évite de diffuser son adresse, vu ce que je mets sur la tronche à Oualter, ça risque de faire mauvaise impression auprès d’un recruteur potentiel de critiquer son employeur actuel. C'est pas très appétant, comme dirait l'autre

Du coup, j’ai décidé de délocaliser certaines de mes aventures avec Oualter sur un autre blog (et puis la délocalisation c'est fachonne).

Ça m’évitera de flipper que Oualter tombe dessus, tu vois.

Parce que même si j’aime bien me moquer de lui et raconter toutes ses âneries, je n’en demeure pas moins une grosse lâche qui n’aimerait pas se taper un procès (ou me faire virer pour faute grave).

Du coup, je t’annonce très officiellement que tu pourras retrouver mes prochaines aventures avec Oualter sur ce blog :

http://inbedwithoualter.hautetfort.com/

Tu t'en doutes, ce qui me rend vraiment triste, c’est la perte des commentaires, les tiens, ceux de tout le monde. Alors c’est sûr, j’ai tout sauvegardé et tout imprimé mais c’est pas vraiment pareil, donc si tu veux laisser des comm' sur les articles délocalisés, ce sera avec plaisir.

Et puis surtout, n'oublie pas d'y faire un tour de temps en temps parce que cette fois, j'aime autant te dire que c'est pas la censure qui va m'étouffer, ce sera lâchage !