Le chocolat, c’est drôlement bon!

Si vous vous sentez déprimé, prendre une barre de chocolat remettra un sourire sur votre visage. On est à présent sûr qu’il y a un lien entre le chocolat et votre humeur, selon un groupe de chercheurs basés aux Etats-Unis.

La preuve scientifique que le chocolat est bénéfique
Le Dr Natalie Rose de l’Université de Californie et ses collègues ont observé que les gens déprimés mangeaient 8 portions de bonbons alors que les gens joyeux mangeaient seulement 5 portions de bonbons pendant un laps de temps similaire. Les personnes très déprimées engloutissent environ 11 portions. Une portion égale une once de chocolat ou une petite barre.

Le groupe de chercheurs a affirmé qu’il y avait vraiment un lien entre le chocolat et la bonne humeur. Alors que nous savions cela depuis longtemps, de nouvelles études ont prouvé ce fait de manière conclusive. Le docteur Rose et ses associés ont conduit une études avec plus de 900 femmes et hommes dans laquelle ils ont enregistré ce que les gens mangeaient. Leur humeur était mesurée avec une échelle de dépression. Et un lien clair a été découvert; les hommes et les femmes déprimées mangeaient plus de chocolat que leur pairs.

Mais nous ne savons toujours pas pourquoi!
L’étude ne mentionnait pas pourquoi le chocolat rendait heureux. Mais il y a plusieurs théories à ce propos. Les gens déprimés subissent les mêmes envies irrésistibles que tout un chacun quand il a envie de manger du chocolat. Croquer des douceurs sucrées peut être un type d’auto-traitement quand on se sent de mauvaise humeur. D’un autre côté, consommer trop de chocolat peut aussi être déprimant!

Les avantages du chocolat et des bonbons
Le chocolat est aussi connu pour sa teneur en antioxydants. Selon certaines personnes, le chocolat fonctionne comme l’alcool; les deux donnent un coup de fouet temporaire. Quand les effets disparaissent, on se sent encore plus déprimé qu’avant. Davantage d’études seront requises avant de pouvoir déterminer si le chocolat nous aide à surmonter la déprime ou s’il la provoque.