Qui sème la misère récolte la colère…. (suite mais pas fin).
S’il n’y a pas de grand soir fiscal, comme le susurre avec tant de certitude la langue de vipère du MEDEF qui continue de protéger les actifs de ses congénères si bien nantis, il risque fort d’y avoir un grand soir économique et social, car le peuple n’est plus dupe des tours de passe-passe des grands de ce monde…
Comment peut-on encore soutenir une ligne de défense des intérêts du patronat alors que ce sont toujours les mêmes qui font les frais de cette crise, là où l’on demande si peu d’efforts (voir pas du tout : qu’on me prouve le contraire… j’attends de pied ferme) à ceux qui ont si bien profité de l’effondrement du système financier qui rebondit, étrangement, si vite…. Et si opportunément. Les traders n’ont pas fini de se faire des c..(censuré) en or…
Proposer pour seul cataplasme sur la jambe de bois du capitaine de ce navire en plein naufrage qu’est le capitalisme d’aider les entreprises à profiter de périodes de plus en plus longues de chômage partiel n’est vraiment pas à la hauteur des enjeux. Et faire peser le poids de ce plan d’austérité qui ne dit pas son nom sur les seuls contribuables, en tentant de surcroît de les culpabiliser du fait qu’ils ont un emploi ou une retraite à 60 ans est une véritable honte.
Même le PS autrefois si libéral en arrive à prendre un tournant gauchiste en proposant des mesures dignes des meilleurs moments du NPA…
Alors, s’il vous plait, Mesdames et Messieurs des médias et de la politique, arrêtons là l’hypocrisie : faut qu’ça pète ! Ce système est corrompu !
Regroupons nous tous et toutes dès à présent sur le chemin de la…. Résistance !