« Les yeux jaunes des crocodiles », « la valse lente des tortues » font partie des livres que j’ai lus avant que je ne me mette à parler de mes lectures sur mon blog. Dans « les yeux jaunes des crocodiles », j’avais appris à connaître Joséphine, ses filles et sa famille. Ah, Joséphine, passionnée par ses études sur le Moyen-âge, toujours prête à rendre service aux autres… Bonne poire ? Peut-être un peu. Un livre distrayant, bien ficelé et j’avais passé un agréable moment de lecture. Quand « la valse lente des tortues » est parue, j’avais envie de savoir comment tout ce petit monde allait continuer dans la vie. Il y avait toujours le style de Katherine Pancol qui fait mouche mais l’histoire m’était apparue moins attractive.
« Les écureuils de Central Park sont triste le lundi », troisième opus, reprend les mêmes personnages. Joséphine a fait du chemin ! Mais comme dans « la valse lente des tortues », on assiste à des chassés –croisés amoureux. Hortense, sa file aînée m’est apparue détestable à un point que je ne comprends pas pourquoi sa mère ne le remet pas en place une fois pour toutes. Beaucoup de référence aux deux précédents livres d’ailleurs le premier chapitre repend la fin de la « la valse lente des tortues ».
Mais, 800 pages, j’ai envie de dire que c’est long, trop long. Heureusement, le style de Katherine Pancol est inchangé : une alchimie des mots vive et sympathique. Je m’attendais à un livre qui clôture cette saga mais non …
Je le conseille à ceux et celles qui n’ont pas lu les deux précédents, les autres y trouveront trop de redites et surtout moins d’étincelles que dans les « Les yeux jaunes des crocodiles ».