Le procureur a été particulièrement virulent dans son réquisitoire, allant jusqu'à un excès verbal qui n'était pas nécessaire.
Néanmoins, cette condamnation à mort, une peine rarement prononcée en Inde, est accueillie par l'opinion publique indienne comme allant de soi. Pour les dirigeants politiques, cette condamnation est aussi un clair signal envoyé aux candidats terroristes et au Pakistan.
Kasab peut encore faire appel, puis saisir la Cour Suprême. Après ces recours, il ne lui restera plus que la grâce présidentielle.
La procédure peut encore durer un peu, mais il est probable que pour Kasab, la justice suive son cours...